Ouvrir les fermes aux réfugiés et créer du lien: visite n°3, l’élevage caprin
Pour terminer cette série de trois visites pédagogiques de fermes, ce sont Monsieur Germain Duvaleix, son jeune fils et quelques 300 chèvres qui nous ont accueillis. Le 24 octobre matin, ils étaient 5 réfugiés accompagnés par France Terre d’Asile à découvrir la ferme. Leur intérêt et leur curiosité ne pouvaient être plus grands.
Une visite entre connaisseurs
Les échanges ont été bon train : nombre de litres de lait par chèvre, durée de lactation, destination des chevreaux, capacité de la citerne de stockage, consommation du tracteur….Il est évident que les participants étaient des connaisseurs et que cette ferme les a rappelé à leurs souvenirs !
Un contexte et des technologies qui changent
Impressionnés par la capacité à semer une surface donnée en si peu de temps, par le litrage jour, ou encore par le nombre de chèvres mises en traite en même temps avec la machine, les visiteurs en savent désormais plus sur ce qui est représentatif d’un élevage caprin en Nouvelle Aquitaine actuellement.
Si les éleveurs ne recherchent pas régulièrement de main d’œuvre saisonnière, ils n’en sont pas moins de potentiels employeurs sur des postes pérennes. Le message est semble-t-il, bien passé.
Merci encore à Monsieur Duvaleix et son jeune assistant d’un jour pour leur accueil et leur disponibilité !